Tempo obsessionnel. Le marteau bat plus fort
loin des bras cathédrales sur la faille sournoise
Tangente. Autour de toi les lueurs qui persistent
forment en vain un bouclier d'espoirs
Ton regard mécanique à l'horizon figé
s'abandonne hagard. Verticale chute
Tes lignes brisées fracturent les pourquoi.
Tout blesse. Tout casse. Poussières.
Le trou noir dans ta tête avale un champ de croix
Une suite de pas sur la voie sans issue
Le jour t'assassine aveugle déshabillé de foi
Terminal sans adieu. Y as tu jamais cru ?
dimanche 28 février 2010
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