Platitude du code : la source est monotone
la suite, tempête des sens,
une relation de récurrence
dans l'équation irrésolue
Ecran total aux crocs limés
Tu bats en vain tes ailes rogues
prisonnier volontaire
de libertés virtuelles
Tu erres sur cette toile absente
Changeant de peaux pervertissant l’odeur intime
Et diluant le sang de tes morsures
Tatouées sur la trame
Chante encore ton claquement de touches
toi qui te perds
Tandis que par un doigt insensible
Les pages sont tournées
Tremble, innocent accompli,
l’hiver jubile
Qui te cueillera, le regard pixel
Et le cœur numérique.
jeudi 17 septembre 2009
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est-ce possible de s' aproprier un de vos texte (comme celui-ci)
RépondreSupprimerce qui est sur la toile est libre de droit ...
RépondreSupprimermerci de votre visite
"Tu erres sur cette toile absente
RépondreSupprimerChangeant de peaux pervertissant l’odeur intime
Et diluant le sang de tes morsures
Tatouées sur la trame..."
Je suis absent sur une toile errante...
mmm... ton texte fait des envies je vois, un mordu comme moi.
M.
Le cœur sous les paupières, ne voit que dans un battement de cils.
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