j'ai vu la vague s'humilier
l'œil éteindre sa vigilance
le sable encore humide
lentement absorber toute trace
quand le vent essoufflé cessa
de balayer l'espace
et ses tourments.
j'ai pensé, fugitive,
poursuivant l'idyllique perspective
quelle pénétrante beauté,
quelle désertique passion
comme un arc en ciel de temps fusionné
juste avant d'être happée
par ton absence.
samedi 28 février 2009
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