samedi 23 novembre 2013
Le meilleur et le pire
tombe le ciel à court d'ailes
essoufflé
rouges poussières qui soufflent
lentes comme des fantômes
rêvés
autour de toi, petite mécanique,
un chemin tracé et ses balbutiements
en souvenir de l'esprit
cartésien
qui affirme son pas dans l'univers
moi sans ton monde
je n'ai pas l'envergure assez large
pour ce pardon divin
inconcevable ici bas
trop d'erreurs trop d'aveuglements
j'en ai la tête vagabonde
les idées échauffées aux pages philosophiques
je pense tous les jours à toi, cher Curiosity,
mais ailleurs et sous nos toits inconscients
toujours la guerre en mouvement.
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Réglons la question du bisou intersidéral: http://carburatrices.blogspot.ch/2013/11/la-question-du-bisou.html
RépondreSupprimerwaouh dommage de ne pas pouvoir réceptionner ce poème en direct je vais kopikoler comme à mon habitude mais sur FB en espérant un effet boomerang sur votre site qui le vaut bien
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