lèvres gercées au sel brut
la sirène ? quel vieux rêve !
mains rudes sillons solaires
un nœud dans tes cordages
ciel de mer vent des marées
par dessus la voile
se jette
se jette
l' extravagante
des profondeurs
noyant
scélérate
ton
ciel de mer
vent des marées
bonjour !
RépondreSupprimerne fait-elle pas ce dont pourquoi elle existe ?
scélérate, vous voilà bien dur !
Tout est question de perspective C'est une vague pirate !
RépondreSupprimerà bientôt lors d'un prochain abordage
L'être, l'usure ou l'espérance au travers des éléments, c'est ainsi que je lis Scélérate
RépondreSupprimercomme pour les crimes, il y a toujours échange entre un poème et son lecteur et plusieurs niveaux de lecture
RépondreSupprimerbien vu Lutin-lutine et merci de ta visite