je lis en marche arrière plonge dans tes blancs
pour l'autre monde tu rayonnes lumineux
je vole en douce le temps bien trop furieux
couleur ombre allongée sous tes vents
qui suis-je sinon cette bouche à mordre
l'âme des autres suspendues à la ligne
doigt virgule cassé par leurs voix dignes
j'éparpille les feuilles de chaînes et d'ordres
l'homme est l'appât le chant a ses nuits
vertigineux déséquilibre qui s'égraine
mais je m'égare quand tout t'entraîne
et comme l'aimant, mon semblable, je fuis
vendredi 6 juillet 2012
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
que dites vous après avoir dit bonjour ?