Délavé, ce drapeau de prières, trop giflé par quatre directions
Effacée, la marque. Il ne reste de saillant que la pierre souche
Un squelette rigide angoissé par le pas éboulis qui s'approche
L’oxygène trop rare sur ta peau brûlée compose ses vertiges
Enlacée par les voix qui chantent sur leurs cordes graves
la roue, si lointaine, si proche, peine et grince. Résistance.
Ce film clandestin je le dois à ton message au thé salé
Je l'entends dans ma tête aussi nu que la voie que tu cherches
Un pardon L'oubli de soi de son insignifiance Une renaissance.
samedi 28 avril 2012
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