Je te lis comme tu m’ignores dans la profondeur
des sens, le regard reflétant les caractères essentiels
ceux qu’éructent les tripes
Je te traverse quand tu t’enracines dans le flot des autres,
allant à contre nature jusqu’au bout de l'âme
jusqu’à la cime des silences
Demain est un ailleurs malvenu goutte à goutte perfide
Tu veux rire innocent de l'instant refroidi du paradis moqueur
en disant c'est écrit ! Est ce que je tremble, moi ???
J'irai - je l'ai dit - de seconde en seconde
courtisant l'éphémère grâce, sans doute,
avec toi passant pour toujours sur le bord de mes lèvres.
vendredi 3 décembre 2010
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
je dis que c'est un bien beau texte Mijo
RépondreSupprimerB...ez
J'aurai aimé l'écrire.
RépondreSupprimer"Entendu étendu écrit quelque part"