Ce n’est ni le vide ni l’absence. Une quiétude du temps ralenti, caresse brunie sur vague lourde. Un bercement ourlé de creux qui parlent un langage confidentiel et changeant.
Attentive, comme un vœu exaucé qui affirmerait l’existence, l’ odeur alléchante et viscérale du sel marié au mouvement s’allie à la courbure des voiles et dessine l'infini.
Symphonie des horizons. Courant des variables. La nuit dérivante enfin embrasse l’écho des profondeurs, sans un cri.
En solitaire
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
que dites vous après avoir dit bonjour ?