BARAHOUM BARAHOUM Tu t’éveilles affamé, coléreux sourd à mes pas téméraires et tu largues ta multitude de larmes solidaires pour mieux diluer mes limites
BARAHOUM BARAHOUM Jetés au hasard, tes sorts aveuglants dardent leurs doigts cassés hors ta noire demeure fissurant mes chants oratoires comme autant de rires démoniaques
BARAHOUM BARAHOUM Proche imprévisible, tu étourdis et réduis la voie estivale à l’anonymat dimensionnel avant de te détourner et disparaître
Admirable justice d'altitude.
BARAHOUM BARAHOUM Je me souviens, simplifiée, de ta leçon et pourtant, soulevées par des vents contraires - Vois et pardonne - d'autres couleurs se sèment qui pèsent sur mon âme et germent dans le temps.
vendredi 6 août 2010
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