Bourdonnement d’aube engourdie
mon cœur fibrille pèse son rythme
au pouls de la lueur montante
Faisant la sourde oreille
fœtal le corps
dans son nid de rêves
se berce et s'annihile
Dehors claque en vain
Derrière les portes
La vie traîne des pieds monotones
Ne m'attends pas
jeudi 20 mai 2010
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