dire dans une autre langue
cet océan de peines
qui fracasse toutes pensées
dire dans le silence
l'absence impitoyable
qui hante l'éternité
à chaque feuille tombée
à chaque souffle inachevé
à chaque futur brisé
loin , loin, loin,
je ne sais plus qu'être
noyée dans tes larmes
je ne sais plus qu'écrire si pauvrement
que toujours sur nos lèvres
chantera son âme brillante
un rayon de lumière
trop vite éteint
un cœur, une vie
Dans la douleur insondable
reste la mémoire persistante
de cet amour terrestre
mardi 23 août 2016
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Poème écrit au féminin. Peut-on en déduire que la nouille n'est pas un spaguetti ?
RépondreSupprimeron déduit ou on suppute ce que l'on veut ! gnark gnark (rire de Gnuff) les pâtes s'assemblent mais ne se ressemblent pas Tout ce que l'on peut affirmer de source bouillante, c'est que la nouille martienne est verte (peut être ascendant basilic ou menthe ???)
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