graines de sons
tapis à mes pieds
je n'écris pas je traduis
quand le temps presse
je n'ai plus besoin de langue
pour clore le monologue
mais l'espoir naît
des lignes figées
demain ou plus tard
un regard jeté sur la feuille
trop froissée
dira ce qui prend racine
quels fruits seront partagés
plus sûrement
le vent les dispersera
aux quatre coins perdus
des fausses directions
jeudi 26 juin 2014
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RépondreSupprimerHello Etienne de l'Abbaye Merci pour cette réaction poétique épidermique
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