par dessus l'épaule
mes yeux usés penchent
l'oiseau du vent a fui
laissant une trace blanche
comme un parfum de mémoire
mal défini
au creux des circonstances.
samedi 19 novembre 2011
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À travers le mur de mes sens, je pressens d’autres emmurés vivants. J’écris, c’est un mystère Je vis, c’est un miracle Depuis des siècles et des siècles, je crie : Au SECOURS ! On me répond : attendez votre tour. extrait de : Emmurés vivants (Paul VALET)
... et moi j'écrase mes mots humides
dans le cendrier d'un bleu acharné .
extrait de : "J'écrase" dans La Nuit Remuée
par EZ
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