Je martèle la clé d'en bas
Sur leurs âmes qui batifolent
Au ciel qui se couvre
A l’eau qui s’emmêle
J’oppose la musique sombre
De toits percussionnistes
Une partition alchimique
Pour bouche de fin de monde
À travers le mur de mes sens, je pressens d’autres emmurés vivants. J’écris, c’est un mystère Je vis, c’est un miracle Depuis des siècles et des siècles, je crie : Au SECOURS ! On me répond : attendez votre tour. extrait de : Emmurés vivants (Paul VALET)
... et moi j'écrase mes mots humides
dans le cendrier d'un bleu acharné .
extrait de : "J'écrase" dans La Nuit Remuée
par EZ
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