L’humeur est en boîte fictive
sur le rayon comme une mine
tamisée à découvert elle grince de ses rouilles
Elle glisse de ses pentes enlacées
Renouvelant la palette vaine
Les yeux se coincent sur avant toute
Croisent l’air de s’en foutre en rafale
Il flottera toujours l’odeur de cadavre
au comptoir sans suite voie express
Un oubli, s'il vous plait.
vendredi 21 janvier 2011
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