Astéroïde, noir, poussière d’étoile,
Je ne peux pas t’imaginer
Big Bang
Autrement que jouisseur.
Tu m’as projeté hors du néant,
moi, le petit bloc de glace,
sans forme ni fondement.
J’entends encore le souffle de ma naissance ;
pour une délivrance, la fuite de ma substance
sur la voie infinie.
Las, un astre éblouissant m’a capturé,sans préavis,
comme pacotille insignifiante collée par mégarde
aux basques du firmament.
Et voici que soudain j’ai traversé ton ciel
consummé par ma flamme.
Mourir pour un vœu.
mercredi 7 octobre 2009
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